Fonction dans le club
- Secrétaire adjoint
Carrière
(USBM) – Parlons un peu de vous, depuis combien de temps êtes- vous à l’USBM ?
(A.MIMIETTE) – AH ! S’il faut parler de moi, je dois dire que j’ai eu 63 ans en juillet dernier. Je suis marié, père de trois enfants 2 filles un garçon, 2petits enfants. Je suis un retraité EDF, et militant actif pour la cause de la jeunesse guadeloupéenne. J’habite au 24, rue de la république dans le bourg de Baie- Mahaut.
S’agissant de mon appartenance à l’USBM, je suis dans mon club depuis sa création 27 mai 1963
J’ai été successivement un piètre joueur, puis simple membre, président de la commission d’organisation, vice président puis président depuis 1996.
(USBM) – Comment êtes-vous avec vos entraîneurs, demandez vous à voir les compositions avant les matchs, quel genre de relation entretenez vous avec eux ?
(A.MIMIETTE) –Vous savez je suis président depuis 12ans, je n’ai jamais eu une altercation avec l’un d’entre eux quelle que soit la catégorie. Je reste à ma place. Nous échangeons des points de vue mais je laisse toujours la solution au staff technique. Jamais je n’interviens sur une composition d’équipe, encore moins maintenant car depuis notre dernière AGO nous avons revu notre organigramme et nommé un vice président chargé du pool Foot et un du pool Athlétisme.
(USBM) – Quels sont vos meilleurs souvenirs en tant que Président de l’USBM ?
(A.MIMIETTE) – S’agissant de souvenirs, il y en a de bons et de mauvais. Deux exemples de bons : la finale de la coupe de France zone Guadeloupe en 1999, l’accession en D.H avec plus de 10 points d’avance sur second en 2008. En terme de mauvais souvenir, j’en ai un c’est le mutisme des autres présidents de clubs à l’assemblée générale en 2003 lors de La mauvaise interprétation des textes par la LGF ce qui nous a valu la non accession en DH.
(USBM) – Président pour finir, comment voyez vous l’avenir de l’USBM dans un futur proche, quels sont les chantiers en cours ?
(A.MIMIETTE) En fait en termes d’avenir, je rêve d’une USBM entreprise, avec ses structures et des employés diplômés dans les métiers du sport. Je rêve aussi qu’elle puisse recevoir ses 500 Adhérents dans un endroit moins démotivant. En ka kwè sonmèy an ké koupé an jou.